Comment parler de l’ « arsenal » qui pourrait être à la disposition des arbitres pour assainir le jeu sans traiter de la vidéo, déjà mise en place avec bonheur par d’autres sports comme le rugby et le tennis.
Si on regarde la situation du tennis, qui est un sport que je connais assez bien, la vidéo a clairement amené un « plus » avec le « hawk-eye ». Cela ne ralentit pas vraiment le jeu, le nombre de demandes d’appel à la vidéo est limité dans un set, la technologie est assez fiable et, finalement, même si on peut imaginer que la machine se trompe parfois, on s’aperçoit que cela règle définitivement le problème : les joueurs ne contestent jamais la décision du hawk-eye et cela réduit à néant toute contestation…